FaadaFreddy
C’est l’histoire d’un garçon de Dakar, qui fabriquait des guitares avec des boîtes de conserve pour faire exister ses rêves de musique. Un jeune homme qui, avec son légendaire groupe Daara J, parcourt le monde et fait vibrer les scènes des festivals les plus prestigieux ( Glastonburry, Womad, Afropunk, Festival les vieilles charrues …)
Une voix qui a séduit et collaboré avec les plus grands artistes internationaux (de Damon Albarn à Wyclef Jean des Fugees , Bernard Lavilliers, André Manoukian, Zaz, Nagui, Imany, ou Grand Corps Malade) dès la sortie en Mars 2014 de son 1er E.P solo « Untitled », qui s’est trouvé N°1 dans les charts. Faada Freddy, petit chapeau melon sur la tête opte pour style bien à lui, un dandy, mi chic à l’ancienne, mi dégaine d’un Incorruptible des années 30, il livre son 1er album solo « Gospel Journey » qui séduit les foules et enchaîne les scènes musicales du monde en entier
Tous vous le diront, Faada Freddy a une voix extraordinaire. L’alchimie parfaite entre corps et cœur, technique et émotion, musique et sensibilité. Après être resté pendant plusieurs semaines dans le top des charts iTunes, Spotify, Deezer avec son EP « Untitled », Faada Freddy sortait en Janvier 2015 son 1er album solo « Gospel Journey ». Un album composé sans le moindre instrument, uniquement avec des voix et des percussions corporelles. Entre battements de chœurs, claquements de doigts, beatboxing, il enchante avec sa voix unique au service d’une pop music millimétrée, à la fois innovante et empreinte de toute l’âme de la soul. Subtil mélange entre Bobby McFerrin, Otis Redding, Bob Marley et Michael Jackson. « Gospel Journey » recèle d’hymnes pop aux mélodies accrocheuses qui donnent une irrésistible envie de sourire, chanter voire même de danser. Mais surtout, l’homme est un formidable showman. Sur scène, Faada Freddy virevolte, danse, exulte, communie avec le public. Les lumières dansent autour de lui et ses musiciens talentueux partagent et accompagnent cette transe. Quant au public, il est littéralement happé de la première à la dernière
Un style bien à lui qui séduit une public de plus en plus nombreux présent à ses concerts.
Petit chapeau melon à la Charlot sur la tête d’où s’échappent une futaie de dreadlocks et gibus à rayures sur chemise blanche dignes d’un Incorruptible des années 30 : Faada Freddy possède un style bien à lui, mi chic à l’ancienne, mi dégaine de rude boy du ghetto. Un look cool et zazou qui ne se résout pas seulement à lui donner cette distinction « street dandy » mais donne aussi le ton de The Gospel Journey, un premier album joliment stylé, sans âge quoique éminemment moderne.”